Monday 14 March 2011

La rivière Tarumã: un voyage unique.

This is my current desktop photo...in the eternal Canadian winter, this memory of the Amazon warms my heart. In French class this term, we had to write a "portrait" of a place and the following is my short story of the Tarumã River.
Might I also recommend listening to "L'hiver" by Winnipeg's Geneviève Toupin about our never-ending winter ("Je crains que l'hiver soit sans fin")

Au pays le plus grand de l’Amérique du Sud, loin des battements de carnaval de Rio de Janeiro et situé profondément en plein cœur de l'Amazone, on trouve une rivière particulière au-delà du grand fleuve Negro. À la différence du fleuve noir vaste, ce ruban d'eau crée un refuge pour la voyageuse lasse et pourtant aventureuse. À côté du Rio Negro, on ressent l'humidité gluante de la ville et il est difficile à éviter les bestioles invisibles qui se glissent furtivement sous les moustiquaires, laissant leurs victimes avec des marques rouges innombrables. Ainsi, les basses eaux crient à l'étrangère, à partir de la capitale, de commencer le vrai voyage.

S'embarquant en le petit bateau, l'exploratrice serpente le fleuve fin pour découvrir le frisson et la détente de la forêt tropicale. Bien que cette maison flottante sente du diesel et son moteur baratte bruyamment, elle est bien équipée et se transforme en demeure confortable. Un hamac oscillant devient le lieu favori pour la passagère et dans sa patrie, elle continuera à l'utiliser pour se reposer quand le temps est agréable; mais à ce moment, elle regarde le ciel comme une peinture et racle une guitare dans ce lit mobile sur la rivière Tarumã. La chaleur suffocante, les moustiques agaçants et les anacondas méchants sont oubliés et la visiteuse s'émerveille du monde. Le bateau passe sous une arche d'arbres anciens et elle connaît un calme absolu.

Tout d'un coup, le batelier lui appelle. Elle se lève et voit pour la première fois les sujets d'un folklore indigène, « les botos », ou les dauphins de rivière. Quelle grâce! Ils l’intéressent de même que les autochtones eux-mêmes. Peut-être que demain, elle débarquera de cette place de solitude pour visiter un village, peut-être; mais aujourd'hui, elle a besoin de se détendre et comme la nuit tombe et le bateau s'arrête silencieusement, l'équipage et la voyageuse s'installent et partagent un magnifique dîner brésilien. C'était la journée parfaite pour lui rappeler les raisons pour lesquelles elle continue à revenir à ce cher endroit éloigné.

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